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 Le club sélect des quadragénaires

Le club sélect des quadragénaires

Pascaline Vallière
40 ans de bonheur partagé

Entrée en poste: 1982
40 ans d’ancienneté

En 1982, Pascaline Vallière se joint à la famille Biron comme infirmière. Lorsque M. Biron l’engage, elle prévoit ne rester que quelques années. Elle était loin de se douter qu’elle occuperait encore cet emploi 40 ans plus tard aux côtés de 97 autres infirmières! Aujourd’hui, Pascaline est la plus ancienne employée de la bannière Biron, aux côtés de Lise Lanciault, mais du côté du réseau de points de service, c’est celle qui compte le plus d’ancienneté.

Découvrez comment le réseau de Biron s’est transformé au fil des années depuis l’arrivée de Pascaline :

Une impressionnante carrière

Au moment où Pascaline entame sa carrière chez Biron, on lui attribue le numéro d’employé 14. En guise de référence, en juin 2022, les derniers numéros d’employés assignés se situaient au-delà de 13 970. Pascaline a tellement d’ancienneté qu’elle n’a jamais eu de carte d’employée et elle n’est jamais allée s’en faire créer une.

L’infirmière a fait ses débuts au siège social de Biron sur le boulevard Taschereau qui est maintenant devenu un point de service express. Puis, elle a poursuivi son parcours aux deux points de service de Varennes, qui n’existent plus aujourd’hui, et à celui de Boucherville. D’ailleurs, c’est toujours sur la Rive-Sud, au nouveau point de service de Varennes, qu’elle pratique encore, à raison d’une journée par semaine. Ayant toujours exercé aux prélèvements, elle en a « piqué » des patients, raconte-t-elle.

Une flexibilité appréciée

Pascaline est entrée chez Biron à une époque où beaucoup de femmes restaient à la maison et à un moment où elle n’avait pas nécessairement besoin de travailler – ce qui explique pourquoi ce travail ne devait l’occuper que pour quelques années au départ. Toutefois, elle aimait son métier d’infirmière et les besoins de M. Biron convenaient à son idéal : un personnel disponible pour quelques jours, voire quelques heures par semaine. Cela a permis à Pascaline de travailler deux jours par semaine. Encore aujourd’hui, la flexibilité offerte par Biron, notamment grâce aux emplois à temps partiel, est grandement appréciée et permet une conciliation saine du travail et de la vie personnelle, de quoi faire le bonheur de tous!

« Je n’ai jamais été une femme de carrière. Je l’ai toujours fait pour le plaisir. Le matin je me lève en chantant. Je pète le feu. Tant que je serai heureuse, je continuerai. » - Pascaline

Fidèle au poste, peu importe la destination

Pascaline se souvient des samedis matin autour de la machine à café où un membre de l’équipe annonçait : « Il y a deux patients à faire à Dollard-des-Ormeaux ou à Repentigny, est-ce que quelqu’un voudrait s’y rendre ? ». Souvent, Pascaline levait la main et elle prenait la route afin d’aller accomplir son travail, soit prélever des patients, ce qu’elle préfère par-dessus tout. Bien avant que l’unité d’affaires « Santé en
entreprise » de Biron soit implantée, l’infirmière allait couramment faire des prélèvements dans les industries. Elle se souvient très bien de la fois où elle s’est rendue en Beauce en compagnie d’autres collègues afin de faire des prélèvements sanguins chez Vachon. Durant trois jours, elles ont rencontré une moyenne de 500 patients par jour, et ce, de jour, de soir et de nuit! Leur excellent travail a été récompensé par plusieurs boîtes de « p’tits » gâteaux et de bûches qu’elles ont partagé à leur plus grand bonheur !

Humainement manuelle

Pour la grande majorité de sa carrière, Pascaline a fait tout son travail « à la main ». L’infirmière devait inscrire toutes les informations d’identification du patient manuellement et elle entrait les analyses sur de petits cartons qui s’en allaient au laboratoire, tout cela en rencontrant des patients aux cinq minutes! D’ailleurs, Pascaline souligne le travail de Marie Mayer, la cheffe du laboratoire de l’époque, qui a été 45 ans chez Biron :

« Elle avait réponse à tout. C’était une petite merveille. Elle connaissait toutes les analyses sur le bout de ses doigts. » - Pascaline

Après 35 ans, Pascaline devait faire le saut vers le digital, bien qu’elle préférait grandement travailler « à la main ». Elle était plus rapide, dit-elle avec un rire dans la voix : « Les tablettes, ça plante, pas moi! ». Bien que la transition vers le numérique ne fut pas facile, Pascaline apprécie toujours autant son travail :

« Je travaille par plaisir. J’aime mon métier, l’ambiance, les patients, mais pas l’informatique. » - Pascaline, tout en riant.

Une clientèle pour la vie

Les patients apprécient également son travail : certains téléphonent pour prendre rendez-vous au centre de relation client (CRC) et demandent à lui parler personnellement. Il y en a qui la suivent depuis 40 ans, et ce, peu importe où elle est dans le réseau. Ils font la route pour être prélevés par elle! Une preuve que l’amour de l’infirmière pour son travail se ressent au quotidien pour tous.

« Biron, c’est toute ma vie! On est comme un vieux couple et on n’a pas encore décidé de se quitter » - Pascaline, en riant de bon cœur.

Souvenirs de M. et Mme Biron

Pascaline conserve de doux souvenirs de ses employeurs. Elle se souvient d’une entreprise chaleureuse grâce à la bienveillance de M. et Mme Biron. Elle raconte que pour célébrer le temps des Fêtes, alors que l’entreprise ne comptait environ qu’une quinzaine d’employés, le couple achetait à chacun d’eux un petit cadeau personnalisé et les invitait tous pour un souper au restaurant. De plus, l’organisation a toujours pris le temps de généreusement souligner les anniversaires de travail des employés. Chaque fois que Pascaline a atteint une nouvelle tranche d’ancienneté, elle s’est sentie gâtée et en est reconnaissante. Bien que Pascaline soit un peu nostalgique de l’époque de M. et Mme Biron, elle demeure fière et heureuse d’encore faire partie de la grande famille Biron. Elle admire ce qui a été accompli par les filles du couple qui ont fait un travail remarquable pour faire croître l’entreprise et garder vivante, en quelque sorte, la mémoire de leur père.