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 Le club sélect des quadragénaires

Le club sélect des quadragénaires

Lise Lanciault
Prioriser l’humain au fil des transitions

Entrée en poste: 1982
40 ans d’ancienneté

Embauchée en 1982 par monsieur Biron, Lise est une employée du laboratoire qui a connu les quatre sièges sociaux de Biron. Elle a débuté sa carrière à Brossard sur le boulevard Taschereau, puis a travaillé par la suite à Saint-Lambert et Longueuil jusqu’à ce que l’organisation revienne s’installer à Brossard, sur le boulevard Matte. 40 ans plus tard, il est encore possible de croiser Lise à son poste de travail au laboratoire en tant que technologiste médicale.

L’organisation est passée par bien des changements depuis l’arrivée de Lise au laboratoire. Découvrez les moments-clés de sa carrière chez Biron.

Une croissance synonyme de changements

Un circuit en constante expansion

À l’arrivée de Lise, il n’y avait qu’un seul messager qui était responsable du transport des échantillons, mais également de faire d’autres courses pour monsieur et madame Biron! Puis, suite à la croissance que l’entreprise a connue, ce sont aujourd’hui 17 messagers qui circulent de point de service en point de service, sous l’œil avisé de 2 répartiteurs, permettant ainsi d’optimiser les déplacements.

Une transition vers l’informatisation

Lise se souvient à quel point le virage vers l’informatisation des rapports de laboratoire n’a pas été facile. Pour se donner un air d’aller, il a fallu l’aide d’un biologiste médical habile avec les ordinateurs. Avant la mise en place du système LIS à la fin des années 90, les résultats étaient couchés sur de petits cartons que les employés du laboratoire se passaient l’un après l’autre pour finaliser leurs rapports. Bien que cette transition eût nécessité de l’adaptation, on ne s’en passerait plus aujourd’hui!

Souvenirs d’un employeur humain

Lise a eu la chance de côtoyer M. et Mme Biron pendant plusieurs années : elle se souvient du couple comme des personnes bienveillantes et généreuses. Les Biron géraient l’entreprise comme s’ils prenaient soin de leur famille et ils s’occupaient de leurs employés comme des parents prennent soin de leurs enfants. Si par malheur un employé était hospitalisé, le couple lui rendait visite à l’hôpital.

Un quotidien ponctué de marques d’appréciation

M. Biron aimait prendre soin de ses employés et il prenait le temps de poser des gestes au quotidien pour leur exprimer son appréciation. Lise se rappelle des beignes qu’il leur apportait chaque semaine ou encore de ses visites quotidiennes au laboratoire où il venait raconter sa « p’tite histoire » aux employés. Il s’installait au centre du pièce, puis racontait ses histoires.

« Il y en avait des sucrées et des salées! » - Lise

M. Biron s’était même fait fabriquer un costume de père Noël qu’il revêtait chaque année pour la distribution tant attendue du sucre à la crème qu’il cuisinait lui-même. Un certain Noël, il a même partagé sa recette personnelle tant appréciée!

L’importance de la proximité

M. Biron a toujours adoré faire des prélèvements et des visites à domicile. Aux dires de Lise, c’était le meilleur pour prélever.

« Quand on avait de la difficulté à prélever un patient, c’était toujours M. Biron qui venait s’en occuper. » - Lise

Non seulement M. Biron appréciait entretenir un lien de confiance avec ses patients et patientes, mais il avait également compris que ses habiletés sociales pouvaient lui servir à faire fructifier son entreprise. Conjuguer sa grande passion pour le golf et son amour de l’humain lui a permis de créer et d’entretenir plusieurs liens d’affaires de qualité au fil de temps.

Puis, comme dit la citation connue : « Derrière chaque grand homme, il y a une femme », la présence d’Ève Biron aux côtés de son époux a été d’une grande importance. Celle que M. Biron appelait affectueusement « le p’tit boss » savait comment surmonter les difficultés. Quand il y avait des problèmes, il ne suffisait que de les exprimer à Mme Biron et hop! Tout était réglé en un rien de temps.

« Mme Biron réglait les problèmes subito presto. » - Lise